Nous approchons de la date de l'équinoxe d'automne - 23 septembre -, soit la durée du jour qui sera égale à celle de la nuit, pour diminuer deux jours plus tard, et que la nuit dure plus que le jour.
Nous le savons, le soleil et la lumière ont tendance à nous amener du "baume au cœur" ; alors quand les journées sont plus longues que les nuits, nous sommes potentiellement plus heureux que l'inverse, à l'automne ou l'hiver. En dehors de la vitamine D (synthétisée grâce au soleil), qui est un facteur objectif très équilibrant pour notre santé et notre moral, nombre d'entre nous affirment avec vigueur être extrêmement dépendants du temps qu'il fait et de la durée du jour, pour être heureux.
Dans ce cas précis, il est peut-être judicieux de vérifier son taux de vitamine D, bien qu'il y ait peu de risque qu'il soit bas à la sortie de l'été (les réserves étant reconstituées) ; donc à faire plutôt au cours ou à la fin de l'hiver, pour lutter plus efficacement contre tous les virus.
Mais quand vous n'avez pas le moral, quand il fait gris ou pluvieux en été ou à l'automne, ou parce-que les journées sont raccourcies, il y a de fortes chances que la météo ou la durée du jour soient des explications trop rapides et faciles à votre humeur. La répression des émotions instaurée chez nous tous depuis la petite enfance, a eu pour conséquence "la mise au placard" de mal-êtres ou souffrances, sous le contrôle de notre mental, qui s'est chargé d'éloigner tout ça de notre conscience. Ce qui produit une grande méconnaissance de notre intériorité.
Ce qui est donc plus probable dans une situation pareille, c'est que des évènements récents vous aient plus ou moins affectés, sans que vous les ayez pris en compte, car raisonnés par votre analyse, minimisés, voire non perçus (car trop dans vos pensées et actions). Dans ce cas, ils viennent par leur ampleur ou répétition, alourdir votre énergie de poids invisibles, et faire émerger une part de ces vécus passés non identifiés. Et alors chacun parle d'un mal-être indéfinissable, d'une baisse de régime, associés au temps ou à la luminosité, par méconnaissance.
Je vous conseille vivement, d'être plus à l'écoute de votre intériorité, de vos émotions, même petites, et de les accepter comme des indicateurs précieux de vos vécus à prendre en compte. Il y aura sans doute ensuite des choses à comprendre ou à verbaliser, en se rappelant que l'expression des émotions a été conçue pour soulager de nos souffrances. Dès l'instant que l'on ne se contente pas que de pleurer.
Les thérapeutes d'Univers Emotions sont là pour vous accompagner si besoin.